Wahouh ! En un mot "wahouh". La première chose qui m'a donné envie de me frotter à Nier, c'était sa bande son. Sa magnifique, sa sublime, son envoûtante bande son. Malgré les critiques qui n'étaient pas forcément très tendres, oscillant entre le "tout juste bon" et le "plutôt moyen", j'ai quand même voulu me laisser tenter. Et grand bien m'en a pris, cela faisait longtemps qu'un jeu ne m'a pas autant pris aux tripes. C'est bien simple, alors que je suis du genre à arrêter un jeu si tôt la premier fin vue, cette fois-ci, j'ai pris le temps de faire ce qu'il y avait à faire pour voir les 4 fins différentes. Le jeu dispose d'un New Game+ qui permet de recommencer peu après le milieu du jeu. La première fois, c'est pratique, la seconde, on se dit que c'est un peu dommage car on manque quelques passages intéressants du scénario.
Si techniquement, le jeu est à la ramasse (j'ai pu lire que ça ressemblait à un jeu PS2, faut pas exagérer, mais c'est sûr qu'on est loin de Castlevania ou Darksiders), c'est par son univers et son scénario qu'il se démarque. L'ambiance est très lourde, rarement joyeuse (Nier, le héros éponyme, est père célibataire, sa fille a une maladie mortelle incurable, et le petit village dans lequel on commence l'aventure est entouré de plaines où pullulent des monstres qui attaquent les humains, rajoutez à cela que tous les malheurs du monde sembler s'abattre sur les habitants de la ville). D'un point de vue design, même si le nombre de décors est peu élevé, on a souvent droit à d'immenses maps où l'on trouve ça et là des vestiges d'une civilisation passée, la nôtre en l'occurence, cumulé avec les musiques somptueuses, on pourrait presque se croire de retour dans le monde d'ICO ou de Shadow of the Colossus (The Last Guardian pour la fin de l'année, on y croit !)
Et puis, évidemment, il y a les deux autres héros. Emile et sa bonne bouille sortie tout droit d'un film de Tim Burton, et surtout, SURTOUT, Kainé et son langage comment dire... Comme ça :
A noter qu'au Japon, le jeu PS3 propose un personnage principal différent, Nier n'est plus un père cherchant à sauver sa fille, mais un jeune homme qui veut sauver sa soeur :
Bon, il y aurait encore plein de choses à dire, le doublage, la relecture du scénario avec les fins alternatives, les quêtes... mais ça sera pour une prochaine fois ! (ou pas)
J'aime les jeux vidéo, les mangas, les jeux vidéo, les animes, les jeux vidéo, la musique, les jeux vidéo et je collectionne tout ce qui a touche à Mario. Accessoirement, je tiens ce blog de manière particulièrement aléatoire...
Wahouh ! En un mot "wahouh". La première chose qui m'a donné envie de me frotter à Nier, c'était sa bande son. Sa magnifique, sa sublime, son envoûtante bande son. Malgré les critiques qui n'étaient pas forcément très tendres, oscillant entre le "tout juste bon" et le "plutôt moyen", j'ai quand même voulu me laisser tenter. Et grand bien m'en a pris, cela faisait longtemps qu'un jeu ne m'a pas autant pris aux tripes. C'est bien simple, alors que je suis du genre à arrêter un jeu si tôt la premier fin vue, cette fois-ci, j'ai pris le temps de faire ce qu'il y avait à faire pour voir les 4 fins différentes. Le jeu dispose d'un New Game+ qui permet de recommencer peu après le milieu du jeu. La première fois, c'est pratique, la seconde, on se dit que c'est un peu dommage car on manque quelques passages intéressants du scénario. 
