Xenosaga Episode III: Also Sprach Zarathustra, avis final.

Le 09/10/2006 à 03:17:48
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Et bien voilà. Toutes les bonnes choses ont une fin et c'est ce soir, avec un compteur affichant à peine plus de 36h que j'ai achevé ma partie de Xenosaga Episode III: Also Sprach Zarathustra (que je nommerai Xenosaga III dans le reste du texte), dernier jeu de la saga retraçant la vie de Shion Uzuki. Les news sur Internet se contredisent un peu concernant le futur de la série, car si on peut lire par endroit que, dû aux mauvaises ventes des jeux, Namco Bandai n'envisagerait pas de prolonger la saga, sur d'autres sites, on peut lire que la suite de l'aventure dépendra du succès de cet opus. En tout cas, je ne peux qu'espérer que cet opus ne sera pas le dernier. Avant tout chose, je ne donne ici qu'un avis, j'expliquerai le système de jeu, je donnerai mon avis dans l'ensemble, mais je ne suis pas ici pour faire une analyse complète et complexe du scénario, j'aurai trop peur d'oublier des choses, d'écorcher l'histoire. D'autres sites le font très bien, ici, ce sera spoiler-free. Vous voilà prévenus.


L'histoire
Le système de jeu
Un avis général
D'un point de vue personnel

L'histoire

Xenosaga III se déroule un an après le précédent épisode. Shion, après avoir découvert que son père, membre de la Fédération, travaillait également en secret pour l'organisation U-Tic, décide de quitter son poste chez Vector et rejoint Scientia, un groupe underground qui cherche à mettre à jour les projets cachés de Vector. Pendant ce temps, le projet KOS-MOS est arrêté, un nouveau projet étant censé le remplacer. Retrouvant à nouveau ses anciens compagnons, Shion va aller à la découverte de son passé et parviendra enfin à mettre un terme au conflit qui l'oppose aux Testaments, à Ormus et à tous les autres ennemis que l'on connaît depuis le premier épisode.

D'un point de vue purement scénaristique, s'il ne répond pas vraiment à toutes les questions, cet opus nous apporte tout de même bon nombre de réponses. Citons, sans expliciter plus en détail, que l'on connaîtra enfin ce qui s'est passé il y a 15 ans sur Miltia, que l'on apprend les raisons de la création de KOS-MOS, que l'on sait enfin qui est chaos, etc, etc. Le scénario est très dense et, heureusement, une base de données refait surface. Celle-ci se remplit petit à petit durant le jeu, fréquemment mise à jour au grè des évenements, il suffit alors de s'y rapporter en cas d'oubli. Comme dit plus haut, il faut compter une bonne trentaine d'heures pour finir le jeu, c'est pratiquement le double de chacun des opus précédents, ce qui garantit un certain nombre de révelation. Le jeu souffre tout de même du même syndrome que Xenogears à savoir que les programmeurs ont du être encore pressés par le temps que les 3-4 dernières heures de jeu amènent un nombre très importants d'informations quasiment en bloc. Ca a un avantage, ça permet à la fin d'être dense et intense, mais on sent quand même quelques problèmes de rythme.

J'enchaîne avec le système de jeu, je pousserai mon analyse sur le jeu un peu après.

Le système de jeu

Enfin ! Enfin ! Après un premier épisode au système lourd, relativement complexe et pas forcément très fun, après un deuxième épisode plus complet, qui permet des tactiques de combat poussés, mais avec un système d'expérience trop lourd et des combats trop lent, l'épisode III arrive à réparer les erreurs de ses prédécesseurs et nous offre enfin un jeu agréable à jouer. Alors que les deux jeux précédents proposaient d'attribuer des actions aux boutons de la manette, ici, le jeu utilise un système plus classique de menu. Fini les attaques haut/milieu/bas du second et si on retrouve toujours les attaques à portée longue ou courte du premier épisode, cela se gère plus simplement.

Cette fois-ci, le système de boost est au coeur du jeu. Comme dans les premiers épisodes, à chaque fois qu'un personnage frappe, la jauge de boost, commune à l'équipe augmente. Il existe trois paliers à la base (des objets permettent en cours d'augmenter ce nombre) et il est possible d'utiliser les boost de deux manières. Comme dans les précédents épisodes en permettant à vos personnages de prendre le tour suivant ou alors, des attaques spéciales deviennent disponibles. Celle-ci utilisent un certain nombre de boost, généralement entre 2 et 4 et font de très très gros dégâts sur les ennemis. Alors, utiliser les attaques spéciales, ou augmenter le nombre de tour, voilà généralement à quoi se limite la stratégie des combats. Généralement, l'utilisation des attaques spéciales est préférable durant le jeu, seuls les derniers boss nécessitent d'utiliser la possibilité d'attaquer plusieurs fois dans un tour.

Qui plus est, les attaques spéciales ont une attribution particulière, c'est que si un personnage achève un ennemi en utilisant ce genre d'attaque, un bonus est accordé en fin de combat, il s'agira d'un certain pourcentage de point d'expérience et de skill en plus (jusqu'à 50% en plus pour les boss) en fin de combat. Par contre, que l'on achève un ennemi ou plus ainsi, on recevra le même bonus.

Les combats sont donc beaucoup plus agréables à faire que dans les opus précédents. Si dans l'épisode deux, les systèmes de combo étaient très précis et permettaient des attaques très jouissives, le fait de devoir attendre 4 tours avant de pouvoir faire des dégâts substantiels aux ennemis étaient un frein au plaisir de jeu. Ici, tout va très vite. les différentes attaques se font rapidement, on enchaîne les personnages sans temps mort, bref, si le système est simplifié par rapport à avant, et qu'il reprend un forme plus classique, les combats sont tout de même plus agréables et nécessairement, le plaisir de jeu en est grandement augmenté.

Je parlais au-dessus de skill points. Ceux-ci proviennent de l'épisode, mais comme je le disais plus, le système a été simplifié et il est beaucoup plus facile de les utiliser. Chaque personnage dispose en début de jeu de deux lignes de skills qu'il peut apprendre. Sur chaque ligne, des noeuds de techniques sont situés à intervalle régulier. Dans chaque noeud, 4 skill qui se répartissent en trois catégories : magies, techniques d'attaque ou bonus de stat. L'intérêt est que pour passer d'un noeud à l'autre, il faudra apprendre toutes les techniques d'un premier emplacement. Et, comme je le disais, chaque personnage a le choix entre deux lignes. Si les premiers emplacements coûtent peu cher en point, les suivants sont de plus en plus durs à attendre. Donc deux choix s'offrent au joueur, apprendre les premières techniques de chaque ligne puis passer aux suivantes et ainsi de suite alors, apprendre une ligne entière et passer à la suivante. Evidemment, les techniques situés en bout de ligne, qui coûtent le plus cher (mais les 400 points nécessaires ne sont en rien en comparaison des 2000 ou plus que demandaient les techniques de l'épisode II) sont aussi les plus puissantes. Aussi, une fois une ligne terminée, un "master skill" est gratuitement appris, celui-ci étant une magie très coûteuse en MP mais avec des améliorations à la clé très pratique (booster les stat de tout le monde, faire obligatoirement des critiques, se mettre automatiquement en garde, etc, etc...).

Le système, qui rappelle un peu le sphérier de Final Fantasy X, quoi qu'en plus linéaire, est très agréable à utiliser et, comme je l'ai déjà dit, bien moins coûtent en skill points que celui de son prédécesseur.

Outre les combats à main nue, on retrouve également les combats en robots géants, les E.S. Alors que ceux-ci étaient totalement insipides dans le premier épisode, ceux du deux étaient déjà plus agréables, mais on retrouve ici un confort de jeu digne de Xenogears. Fini la magie, les E.S. ont leurs propres techniques et rien de plus. On retrouve les mêmes robots que précédemment, ceux-ci ayant été boosté grâce aux Vessels of Anima qui leur permettent de gagner une barre de boost. Celle-ci augmente au fur et à mesure qu'un robot porte des coups, et à chaque palier franchit, il est possible d'utiliser l'option Anima, le robot peut alors, entre autres, utiliser une technique généralement dévastatrice. Outre cela, on retrouve les attaques normales. Chaque robot, en fonction de son équipement, bénéficie d'un certain nombre de point d'EP et chaque type d'attaque coûte un certain nombre de point. Ce qui est intéressant, est que la jauge d'EP est valable pour un tour et qu'on utilise tous les points que l'on possède. Ainsi, si un robot possède 600 points, qu'un coup de laser coûte 150 et une salve de missile 120, votre robot pourra lancer 2 lasers et 2 missiles dans le même tour, ou 5 missiles...

Un avis général

Vous l'aurez donc compris à ma description des combats, j'ai été particulièrement emballé par le système de jeu, tellement plus léger que ce à quoi la série nous avait habitué. Alors, même si scénaristique ment, le jeu reste excellent, j'ai trouvé que l'histoire était moins prenante, peut-être la mise en scène qui en met moins plein la vue. Pour moi, d'un point de vue explosion de la rétine, l'épisode I reste mon chouchou, entre la course poursuite dans l'hyperespace, la magnifique scène de fin et évidemment sans compter que c'était le premier donc l'effet de surprise y jouait beaucoup, celui-ci, même s'il reste excellent, n'a pas eu le même impact. Attention, je ne dis pas qu'il n'y a pas quelques excellentes scènes, généralement celles où KOS-MOS entre en jeu sont vraiment un plaisir pour les yeux. Les combats de Jin sont également excellents et on se croirait devant un sacré film d'action, film d'action de 36h quand, voilà de quoi en avoir pour son argent. Mais, conclusion oblige, beaucoup de bla bla dans ce jeu. Alors, oui, il y a moins de cinématique que dans le premier opus, mais il y a énormément de scène où on voit les personnages parler. Ce scène de dialogue montre généralement deux bandeaux à l'écran, un tout en haut, un tout en bas. Les visages de personnages sont représentés à gauche ou à droite, présentant un visage différent en fonction de l'état d'esprit du protagoniste. Malgré cela, le jeu et ses 2 DVD contiennent une nombre impressionnant de cinématiques pour un total de 8h à rester assis devant l'écran à regarder les images défiler.

Techniquement, c'est un sacré bon en avant. Si l'épisode II était supérieur à son prédécesseur sur ce point, ici, ça n'a plus rien à voir et les programmeurs ont mis la gomme sur les personnages et les décors. Finis les décors vides et répétitifs du premier jeu, ici, on a droit à des petits coins de nature d'une qualité photo réalistes, à des villes immenses. Tout est très travaillé, mais des petits points de détails, mais ce sont les détails qui font la différence. Ainsi, lorsque dans l'épisode II on se retrouvait dans un vieille église, la porte de celle-ci s'ouvrait de façon coulissante comme sur les vaisseaux spatiaux, ici, les créateurs ont pensé à faire une porte qui s'ouvre de manière naturelle. Ca n'a l'air de rien comme ça, mais ça sert à donner de la consistance au jeu.

Et si l'on parle des décors, il faut évidemment évoquer les personnages. J'avoue qu'au début, j'ai eu un choc. Car si certains personnages sont plus beaux, j'y revient après, d'autres semblent de prime abord un peu moins détaillé, c'est le cas de Jr. L'épisode II nous l'avait montré sous toutes ses coutures et le voici qui semble en début d'épisode III un peu moins beau, un peu plus creux, mais finalement, c'est un sentiment qui passe durant le jeu. Si le premier s'intéressait à Ziggy et MOMO, si le second nous détaillait le passé de Jr, celui-ci s'intéresse à Shion en particulier, qui est plus encore que jamais au centre du conflit. Le personnage passe par différents stades au cour du jeu, j'avoue que je ne suis pas fan du côté un peu trop "perso" du personnage qui se morfond dans son coin à coup de "de toute façon, personne ne peut rien pour moi, je ne peux compter sur personne..." qui a tendance à persister un peu trop longtemps. Heureusement que les autres personnages ont autant de consistance, chacun à son heure de gloire et personne n'est oublié. D'un point de vue purement design, les personnages atteignent leur apogée. On pouvait avoir peur en regardant les premiers designs qui nous montrer Shion et KOS-MOS version poufette, mais finalement, ça passe très bien dans le jeu. La moumoute de Shion ne gêne pas outre mesure, et KOS-MOS fait plus sage qu'on aurait pu penser.

Evidemment, on ne peut pas parler de Xeno sans évoquer les musiques. Pas de retour de Yasunori Mitsuda mon chouchou, quand le reverra-t-on sur un jeu ? Mystère... Mais cette fois-ci, c'est la miss Yuki Kajiura qui s'occupe de tout. Exit Shinji Hosoe et ses compositions insipides qui faisait perde leur intérêt aux donjons et villes du jeu. Encore une fois, Kajiura nous offre de superbes compositions et d'entendre certains de ses meilleurs morceaux notamment pour les musiques de combat (ceux des boss, des E.S...), c'est un véritable plaisir pour les oreilles tout au long des 30h de jeu. Ca n'a pas le brio d'un Mitsuda, c'est sûr, mais ça reste tout de même d'un excellent niveau.

D'un point de vue personnel

Ca fait un petit quelque chose, un petit pincement au coeur, d'avoir enfin pu voir la conclusion de cette saga, en espérant que ça ne soit pas la fin de l'univers Xenoïte, juste la fin de l'arc Shion qui représente pas loin de quatre années vidéo ludiques (et un non négligeable investissement d'environ 150€ pour à peu près 80 de jeu... Vous me direz, 80h de jeu avec beaucoup de cinématiques, pour le même prix en film, on n'atteint pas une même durée). Et si pendant ce temps Tetsuya Takahashi nous dit qu'il ne faut pas voir de liens précis entre Xenogears et Xenosaga, pour des raisons de droit, on ne peut s'empêcher de comparer les deux oeuvres, regarder les points communs et se dire, la bouche en coeur, c'était donc ça. Comment ne pas pouvoir s'empêcher de voir des personnages qui sont les copies conformes de ceux qu'on retrouve dans Xenogears, comment ne pas pouvoir s'empêcher de se poser des questions lorsqu'on croise une construction connue ? Comment ne pas pouvoir s'empêcher de se demander comment, en 15000 ans de cela, les événement se sont déroulés ? Et encore, sans tenter de tisser les liens entre Xenosaga et Xenogears, il reste tellement de choses à se demander concernant ce jeu, car si bon nombre de questions sont résolues, il reste beaucoup de choses à l'appréciation de chacun, des événements à recréer, des informations à deviner. Bref, voilà un jeu pour faire travailler les méninges.

En conclusion, Xenosaga, la Saga Xeno, cela vaut-il l'investissement ? Oui, largement. Est-ce que je regrette d'avoir investi autant d'argent dans cette série ? Non, trois fois non, car même si, en moyenne, les Xenogears sont loin d'être les jeux les plus agréables à faire (même si, heureusement, le troisième épisode rattrape les erreurs de ses prédécesseurs, et c'est bien dommage que cela n'ait pas été le cas avant), il n'en reste pas moins que Xenosaga est une expérience unique, intense. Une des rares saga où les personnages sont autant détaillés. Vous allez me dire, ils ne sont que 7 durant le jeu, c'est facile de les détailler, et encore, on n'aurait pu en dire tellement plus. D'ailleurs, c'est pour ça que certaines extensions sont sortis, comme ce Pied Piper sur téléphone portable, disponible uniquement au Japon et qui raconte les derniers jours de Jan Saucer avant que celui-ci ne meurt et ne renaissent sous les traits de Ziggy. Personnages fouillés, intrigue complexe et protagonistes nombreux, tout cela au service d'un scénario brillant, je suis vraiment content d'avoir enfin pu voir la fin de cette saga, en attendant la suite...

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18 commentaires | Bas de page Matt @ www le 14/10/2006 à 23:44:53 Vé, surtout que j'y passe. Mais bon, ça fait un peu de discussion sur ce sujet. Nix @ www le 14/10/2006 à 14:54:36 Et j'ai répondu à ta réponse aussi :p (Et nooon, je ne me ser PAS DU TOUT de ton blog pour te forcer à venir me réponndre sur le fo, non non :D ) Matt @ www le 14/10/2006 à 00:52:46 Voui, je sais, et voui, je vais répondre. Nix @ www le 14/10/2006 à 00:41:26 Tu sais que j'ai posté une réponse hein, t'as le droit d'aller sur le fo en parler :p Dorothée @ www le 12/10/2006 à 03:52:58 Je ne vois pas l'interet de faire cela... Dans ce cas là, tu n'écris plus d'article sur le blog et tu mts tout sur ton forum... Matt @ www le 12/10/2006 à 03:46:23 Bon bin je colle déjà ça, la discussion sur le scénar viendra en cours de route. Nix @ www le 12/10/2006 à 03:27:56 Bah, tu met ce que tu veux, mais plus il y a matière à discussion, mieux c'est :D Matt @ www le 12/10/2006 à 02:57:34 Broder l'histoire ? Mmm, alors soit je copie pendant que je suis en week-end et je brode quand je reprends le boulot, soit tu attends deux jours et je mets une version spoiler-full sur le fo ? Nix @ www le 12/10/2006 à 01:10:39 Soit dit en passant, le Nix, il attend que Spart il poste sur le fo pour lui répondre sur le fo. Et oui le Nix est chiant, mais que ça ne t'empêche pas de poster et de broder un peu le chapitre "histoire" :molo: Matt @ www le 10/10/2006 à 01:56:17 Je suis pas sûr que ça soit la même chose. Et les bots, ce sont google, yahoo et les autres qui passent indexer les pages. quilombo @ www le 10/10/2006 à 01:48:27 Mmmh ,tu connais RF online(RISING FORCE) http://www.codemasters.fr/rfonline/news.php Sa devrai t interesser. quilombo @ www le 10/10/2006 à 01:40:09 Salut c est quoi les bots Matt @ www le 10/10/2006 à 00:54:41 Ah bah je l'avais mis dans la première version de ma phrase, pis j'ai enlevé. Ouais, 293 visiteurs donc 87 bots... vivi @ www le 10/10/2006 à 00:48:39 et les bots Matt @ www le 10/10/2006 à 00:00:20 Oui, nous et les 293 autres visiteurs (je suis déçu, d'habitude, je suis à plus de 300 :/) qui viennent chercher du hentai fate/stay night et black lagoon. vivi @ www le 09/10/2006 à 23:21:58 je crois qu'en fait nous sommes seuls... Matt @ www le 09/10/2006 à 23:10:41 Oh bin c'est bien, ça prouve que tu lis :D Et, oui, tu le feras, et tu verras comme c'est biiiiiennnn :p vivi @ www le 09/10/2006 à 11:26:05 c'est bon, tu vas l'avoir ton comm-fleuve de Nix... sinon j'espère que Mitsuda mon futur-mari bossera encore sur des jeux, nom de dieu! et pis à la fin t'as mis Gears à la place de Saga! pis je ferai le jeu, prochainement Nom Email Site Message Anti-robots merci de répondre à la question : êtes-vous un humain ou un robot ? Je suis un