Là, je viens de regarder le Blog-Notes et je dis "ouuuups", puisque nous avons regardé ce soir l'épisode 28 de Boukenger et je viens de m'appercevoir que le dernier que nous avions maté été le 26, tiens, on a sauté le 27 ?

Ce sont des épisodes indépendants, donc ça ne pose pas trop de problèmes. Cette fois-ci, l'histoire était centrée sur Masami, aka BoukenBlack. Celui-ci vient de casser son accelular et ne peux donc plus se transformer en Boukenger. Evidemment, pendant ce temps, Gai et Rei en profitent pour faire des siennes. Ils viennent de construire un nouveau Quester Robot et veulent aller le tester. Les Boukenger, incomplets puisque BoukenBlack n'est pas présent, se font mettre la misère et ne doivent leur salut qu'à une panne du robot ennemi.

Evidemment, Masami ne veut pas rester à rien faire et décide de suivre les Quester quand ceux-ci s'enfuient. Il les découve dans les bois en train de chercher un mystérieux Precious (aussi mystérieux que tous les autres Precious, évidemment...) et il arrive à mettre la main dessus en premier. Il s'agit d'une armure de samuraï et celle-ci 1) a le pouvoir de changer de taille, donc le Quester Robot pourra l'équiper et 2) est invincible.

Arrive sur les lieux le reste des Boukenger et Masami reçoit son accelular réparé. Les Boukenger font alors appel à DaiBouken et SirenBuilder. Finalement, à force d'insister, ils réussiront à récupérer l'armure et à détruire le robot ennemi.

Avis

Un très bon épisode, plein d'action, qui pète de partout, avec la musique qui met bien dans l'ambiance. Scénaristiquement, ça ne va pas chercher bien loin, encore moins qu'à l'accoutumée, puisqu'à la fin de la première moitié, le scénario touche à sa fin et la deuxième partie est uniquement composée d'un combat. Evidemment, ce n'est pas juste "bam bam, je te tape sur la tête", on retrouve, comme à chaque fois, le petit conseil des Boukenger pour bien éduquer les enfants, et le leitmotiv de l'épisode, c'est "faut faire avec ce qu'on a, et continuons d'insiter, on arrivera bien à quelque chose". Mais n'empêche que c'était bien sympa !