Oh, oh, un excellent épisode, en tout cas, je suis obligé d'arriver à cette conclusion car je n'ai vraiment pas vu passer les 20 minutes de l'épisode.

Dans l'espoir de faire un peu de propagande positive pour la Section III, un journaliste vient faire un reportage. Tout commence par une photo en première page et un discours d'Alice retranscrit dans l'article. Alors que le journaliste en question ne semble pas être totalement clair et qu'il reconnaître l'arme de Randel, de son côté, Alice se fait enlever par une jeune femme qu'elle a croisé à plusieurs reprises au cimetière quand elle se rendait sur la tombe de son grand-père.

Cette jeune femme quand à elle, a perdu son frère, qui a été tué par l'armée alors qu'il enquêtait sur la compagnie Invisible 9, la compagnie originale de Randel. Les ravisseurs d'Alice lui demande alors de se servir de ses connexions dans l'armée pour que l'article soit finalement publié. Alors que celle-ci refuse, l'un des ravisseurs lui jettent deux photos de ses soeurs en la menaçant de représailles si jamais elle refuse.

Avis

L'épisode commence doucement, sans action, avec le reporter qui arrive, prend sa photo, etc, et sans prévenir, l'histoire se met en place, avec des implications assez intéressantes alors que la série nous avait habitué à des scénarios plus simples jusqu'alors. Et c'est une très bonne chose. Deux éléments importants dans l'histoire, le fait que certaines personnes possèdent des info sur Randel et son arme. On retrouve le vieux professeur qu'on avait découvert, et la femme aux cheveux blancs vu il y a quelques épisodes, et on attend toujours avec impatience que tout ça se mette vraiment en route. Le second élément, évidemment, c'est l'enlèvement d'Alice qui, sans trop qu'on se rende compte, monte tout doucement en intensité durant l'épisode jusqu'au terrible cliffhanger à la fin. Et qu'une fille ait d'un côté perdu son frère reporter et de l'autre un reporter masculin apparaît, voilà qui paraît trop innocent, ça ne m'étonnerait pas qu'ils aient des choses en commun ces deux-là...