Tout juste fini : God of War III
Le 21/08/2011 à 04:41:42
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Et de 3 ! Tiens, j'ai pas dit ça dernièrement ? Bon, sauf que la dernière fois, c'était les 3 Castlevania sur DS et qu'ils n'avaient pas de liens entre eux, cette fois, c'est une trilogie, mais pas sur la même plateforme. Après GoW premier du nom, qui pouvait se suffire à lui-même, vint GoW II qui, comme c'est souvent le cas, est sympa à jouer, mais est limité niveau scénaristique, puisqu'il introduit peu de choses et ne conclut rien du tout. Enfin, GoW III apporte le dénouement à la vengeance de Kratos, le mortel qui voulait tuer un Dieu (et, tant qu'à faire, se débarrasser de toute entité, divine ou mortelle, qui tentera de se mettre sur son chemin).
Alors, GoW sur PS3, c'est WAOUH ! Si le 2 était plus long que le premier, celui-ci retrouve une durée de vie plus proche de la première aventure, mais niveau technique, design, immersion, tout en fait... rien à voir ! Au niveau du concept, ce troisième volet n'amène définitivement rien par rapport aux précédents, mais il fait tout en mieux. Déjà, comparé au second, les passages de plateforme sont beaucoup moins soûlants et mieux pensés. Très bon point donc. Ensuite, PS3 oblige, les graphismes ont droit à une cure de jouvence. Kratos est magnifique, avec de nombreux gros plans et la modélisation est somptueuse. Les décors sont énormes, les reflets et les lumières en jettent plein les mirettes, et surtout, le jeu se permet des mouvements de caméra, principalement pendant les combats contre les boss où on se retrouve à la place de la malheureuse victime du spartiate, bref, ça tue.
En vérité, à part ça, pas grand chose à rajouter. J'ai envie de dire, heureusement que le jeu est sorti sur PS3, ça n'aurait jamais été la même chose sur la console de Sony précédente. Par contre, jeu pour adulte, ça c'est sûr. Les deux premiers étaient déjà violents, là, on atteint des sommets. Des litres d'hémoglobine, des bras et des jambes coupées, des têtes arrachées, des yeux extirpés de leurs orbites, tout ça sans le moindre remord ni la moindre hésitation de la part du héros, c'est d'une joyeuseté...
Bon, dans un autre genre, j'ai enchaîné avec Catherine. C'est beau aussi, mais très différent, donc mon avis dans quelques semaines.
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