Tout juste fini : Castlevenia: Portrait of Ruin
Le 18/08/2011 à 04:09:46
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Ah, nan, j'y crois pas... Je ne sais pas ce que j'ai fait, si j'ai appuyé sur Ctrl+R sans faire exprès, il n'empêche que le texte que j'écrivais a disparu, super... Encore la malédiction de Dracula, ça... Bon, je reprends, mais ça va me saouler de tout retaper... Bref, j'ai enfin fini mon 3ème et dernier Castlevania sur DS, et par la même occasion mon dernier Castlevania qui trainaît à l'appart. Youpi, maintenant un Lord of Shadows 2, siouplait-merci.
Bon, Portrait of Ruin (PoR), premier Castlevania sorti sur DS, mais dernier que j'ai fait. Pas trop long, un peu moins de 10h pour en voir le générique de fin, mais expérience appréciable. Comme Dawn of Sorrow, les visages des protagonistes sont dessinés dans un style manga pas top-top, qui manquent de finesse par rapport aux designs somptueux d'une Ayami Kojima. Musicalement, Yuzo Koshiro et Michiru Yamane font du boulot qui se situent dans la bonne moyenne. Pas de thème qui reste en tête pendant des jours, mais à l'inverse, aucune musique qui donne envie de couper le son au bout de 5 min dans un donjon. Le scénario, ma foi, c'est le scénario d'un Metroidvania, pas de quoi se choper la migraine. Le jeu présente un nouveau méchant, Brauner, un autre vampire, mais pour le reste, ça reste très classique. Pas de retournement de situation de folie, rien, mais ça n'est pas non plus ce qu'on attend de ce genre de jeu.
Par contre, niveau level-design, j'ai été très agréablement surpris. Pas d'aller-retour inutiles comme dans certains autres Castlevania, PoR propose des téléporteurs nombreux qui permettent de se déplacer rapidement d'un bout à l'autre du chateau. Ensuite, concernant les portraits du titre, il s'agit de tableaux (qui ne sont d'ailleurs pas des portraits) qui bloquent les pouvoirs de Dracula. Il faudra donc les visiter l'un après l'autre, chacun étant ainsi un donjon spécifique. Etant donné qu'ils ne sont pas réellement lié au chateau de Dracula, les mondes sont complètement différents, et cela ne choque pas de passer de l'un à l'autre. Parce que bon, se retrouvait dans un désert alors que 5 min avant, on se trouve dans un chateau européen, il faut trouver une sacrée bonne raison pour justifier ça scénaristiquement. Ensuite, l'autre grosse nouveauté, c'est la présence de deux personnages : Jonathan et Charlotte, lui est chasseur de vampires, membres de la famille Morris (fils du héros de Castlevania: Bloodlines, l'unique exemplaire sur Megadrive), elle est une jeune magicienne. Les deux personnages se jouent de manière quasi-identiques, même si Jonathan a plus d'actions. Il est possible de passer de l'un à l'autre en pressant X ou alors d'avoir en même temps les deux à l'écran en pressant A. Dans ce cas, c'est l'IA de la machine qui gère le second personnage. C'est surtout pratique dans les donjons, vu que contre les boss, le second personnage a tendance à mourir de façon récurrente.
Bon bin voilà, maintenant, je n'ai plus de Castlevania à me faire... Un jour celui sur Megadrive en émulation et là, j'ai encore plein de RPG qui m'attendent sur DS !
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