Tout "juste" fini : Castlevenia: Harmony of Dissonance
Le 09/05/2011 à 02:02:44
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Avec un bon jeu de mot pas fait exprès dans le titre, vu que le héros de ce Castlevania se nomme Juste Belmont (Ah bon, il a pas de prénom ?), le petit fils de Simon, celui par qui tout commença (dans l'ordre de sortie des jeux, puisque dans la chronologie de l'univers, c'est Leon le plus ancien, enfin bref).
Encore un Metroidvania en moins sur la liste, youpi. Avec tout cela, il ne m'en reste d'ailleurs plus beaucoup. Aria of Sorrow qui était vendu avec cette harmonie de la dissonance puis ce sera au tour de Portrait of Ruin et je n'aurai plus de Castlevania à finir \o/
Bon, après avoir fait mes deux derniers épisodes sur DS, le retour à la génération antérieure, la Game Boy Advance, est assez laborieux. Sans parler des graphismes, qui ne sont pourtant pas moches, c'est le retour à l'écran non rétro-éclairé qui est pénible, il faut tourner l'écran vers une source de lumière, et ça fait souvent mal au dos. Le second problème, c'est que l'écran double de la DS est bien pratique, notamment pour avoir la carte du château à tout instant. Là, il faut appuyer sur select toutes les 2 minutes quand on cherche son chemin, c'est lourd...
Le jeu en lui-même est dans la bonne moyenne. La durée de vie n'est pas très importante, 5h pour en faire le tour, par contre, j'ai trouvé l'astuce pour donner naissance à un second château, issu du subconscient du personnage secondaire assez bien amené. Surtout que, bien que le second château soit une réplique exacte de la structure du premier, certaines parties ont leurs couleurs et le fond d'écran si bien changés que l'on arrive à se croire dans un lieu totalement différent. Chose amusante, les deux donjons étant liés l'un à l'autre, il arrive souvent qu'une action sur l'un ait une conséquence sur l'autre. Par exemple, un mur infranchissable dans l'un est un mur cassable dans l'autre. Après l'avoir détruit dans le second, le passage se libère dans le premier. Dans la difficulté, comme c'est souvent le cas, n'est pas bien importante (boss de fin battu du premier coup), et le level-design est plutôt bien réalisé puisqu'à l'exception d'un seul moment où j'ai cherché mon chemin pendant une bonne demie-heure, pour le reste, on n'a pas trop (enfin, moins que d'autres) l'impression de faire des aller-retours, même si, évidemment on n'y échappe pas !
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