Sim City : les bons vieux souvenirs
Le 11/08/2005 à 02:49:21
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Des fois, faudrait que je réalise les messages que je promets d'écrire. Mais tant pis.
Là, on a ressorti des vieux cartons (enfin, le dossier émulation) la bonne vieille simulation de chez simulation, l'ancêtre pacifique, j'ai nommé Sim City. On lance le jeu, le titre apparaît sur une ville éclairée par les lumières de la nuit, et ces mots dans une traduction aussi logique que ridicule "Presse start". Alors on appuie sur Start. Déjà, on se retrouve avec le même problème qu'avant, car le jeu est sur cartouche, et pourtant, il y a des temps de chargements, je n'ai jamais compris pourquoi. Bref, possibilité de s'entraîner, de bâtir une ville ou de suivre un scénario. L'entraînement, c'est pour les tafioles, on passe direct à la construction. Là, les souvenirs reviennent petit à petit. 1000 cartes disponibles ? Peu importe, je vais directement sur la 61, celle qui a le moins de flotte, donc, théoriquement celle où on peut mettre le plus d'habitant. Le choix du nom ? Mattown, comme à l'époque, bien avant que Spartan devienne le nom fourre-tout emblème de ma présence Internetienne (:p). On choisit la difficulté, et c'est parti.
Petite musique guillerette, et on part avec nos Francs 20 000 pour débuter la construction. Une centrale, c'est primordial. Entre celle au charbon et la nucléaire, nous savons bien laquelle est la plus propre même si plus chère. Il nous faut des usines, des commerces et des résidences. L'alchimie est classique, mais il faut savoir la maîtriser : On met dans l'ordre usines, puis commerce, puis résidence. Car les usines dégagent de la pollution et si les commerces arrivent à se développer tant bien que mal dans un cadre pollué, c'est loin d'être le cas pour les quartiers résidentiels. C'est logique, qui irait vivre dans une atmosphère enfumée ? Et puis, les gens travaillent à l'usine ou dans les commerces, donc par un décompte très simple, on se rend compte (eh eh) qu'il faut nécessairement deux fois plus de résidences que de lieux de travail.
Comment les gens vont-ils circuler ? Par la route ou par les transports en commun. La logique voudrait que l'on mette des deux, mais le train, quand bien même est-il plus cher, a l'avantage d'être moins polluant et surtout ne nécessite pas d'entretien particulier. Et puis, ça se développe... Mais... Qu'est-ce ? Une activité criminelle dans ma ville ? Jamais. Alors on fait appel aux forces de l'ordre. Et c'est qu'elles vont en avoir du travail. Un commissariat tous les 10 emplacements, voire plus. Et puis le village devient une ville, youpi, je reçois la mairie. Bon à savoir, tout cadeau reçu par la ville voit sa population rapidement s'accroître aux alentours. A placer donc en conséquence. Et des cadeaux, il y en a pas mal : mairie, banque qui fera fructifier le quartier des affaires, zoo et parc pour le plaisir des petits, casino pour le plaisir des grands, moulin en contrepartie d'un jumelage, QG de police quand on en construit suffisamment, le QG a l'avantage de bien mieux protéger les environs et de faciliter l'agrandissement du quartier.
Bref, tout ce petit monde grandit, et soudain, qu'ouie-je ? Mes administrés mécontents me réclament un stade ? Qu'à cela ne tienne, je m'en vais dans la seconde leur en fournir un. Je pensais avoir la paix, mais non, c'est tour à tour l'industrie qui me réclame un port, et le commerce qui désire un aéroport. De Dieu, c'est que ça pollue ces machins-là, mieux vaut les éloigner des endroits habitués. Et c'est que je ne suis pas bête, ils veulent un aéroport, ils l'auront, mais pas de courant pour l'alimenter, car une fois en marche les avions se baladent au-dessus de la ville, certes, cela donne une impression de vie rajoutée au tableau, mais ces maudits engins volants ont la fâcheuse habitude de se crasher en pleine ville (style twin towers), d'y mettre le feu, et le dit feu, si l'on n'a pas prévu la présence des pompiers, aura vite fait de se propager, le rascal ! Qu'à cela ne tienne, il n'est pas dit qu'un feu aura la peau de ma vile, on rase à l'entour, on y met quelques casernes et le tour est joué. Mes immeubles sont détruits, mais la vie continue. Et la ville se développe encore et encore, jusqu'au moment où l'on remplit l'ensemble de la carte et que soit atteint le chiffre fatidique des 500 000 habitants qui sonne, non pas le déclin, mais bel et bien l'apogée de ma cité, et quelle meilleure récompense alors que de recevoir la statue de la figure emblématique du système que je suis en train d'émuler, le plombier le plus fameux, Mario-san, que dis-je ? Mario-sama qui surplombe, magnifique, les immeubles de ma vie.
Une journée s'achète, des milliers de gens heureux, le bonheur, c'est simple comme Sim City !
"Je VOUS le refaiS" T_T
Bah, je voulais le refait sans tricher les doigts dans le nez ^^
il triche...
J'avoue, j'ai fait une première version située entre "on retrouve les vieux reflexes" et "on fait un truc esthétique" ce qui nous au final quelque chose de mi-bien mi-performant donc au final, aucun des deux, puis après, je suis allé retrouver le vieux tips pour avoir 99999999$ genre tu mets tous les bâtiments, et puis tu regardes ^^ Mais la prochaine fois, je le refais sans :)
et j'y pigeais keud à sim city sur commodorre64 :D
mais y'a la tour mario donc c'est bon...
Serieux ? T'as fait ca en une nuit ?_? Moi j'ai toujours galeré pour arriver à 500000 :/